Un ABDL piégé par sa femme pendant le confinement

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il y a 4 ans
Pensez à vider vos poubelles si vous faite de l'ABDL en cachette

C’est en s’occupant des poubelles, et en râlant parce que son mari aurait pu s’en occuper, que Marie s’étonne qu’elles soient si lourdes. Par curiosité et pour comprendre, elle ouvre le sac en plastique pour voir ce quelle contient, car ce n’est pas ce qu’elle y a mis qui peut la rendre si lourde. En soulevant les emballages alimentaires, elle découvre des couches pisseuses. Outre le fait que son mari ne l’aide pas alors qu’il est au chômage partiel, en plus, il se remet à jouer avec ses couches et doit se branler en fantasmant sur des filles en regardant des vidéos ou en lisant des histoires érotiques sur Fessestivites.

  • Chéri, tu t’es remis à jouer au bébé ?

  • Non chérie, pourquoi tu dis ça ? Répond son mari avec la crainte qu’une dispute éclate si elle découvre qu’il a repris ses petits délires ABDL.

  • Tu es sûr ?

  • Oui chérie !

  • Ah bon, j’ai eu peur, tu peux venir m’aider s’il te plait ?

  • Pourquoi faire ?

  • Parce que je te le demande !

Paul râle mais finit par mettre son jeu vidéo en pause pour se rendre à la cuisine sans s’imaginer qu’un orage de grêle ne va pas tarder à s’abattre sur sa tête.

  • Et ça c’est quoi ? Demande en hurlant Marie qui, folle de rage, vide carrément le sac poubelle sur le carrelage de la cuisine.

Outre les détritus ménagers conventionnels, ce n’est pas deux couches qui s’étalent sur le carrelage mais quatre ainsi qu’un body de little, jeté parce qu’il était trop petit. La dispute unilatérale éclate, Marie furieuse incendie son époux sur la reprise de ses activités de détraqué avant d’aborder la présence d’un body de fille dans sa poubelle. En regardant le dit body de près, elle se rend compte que la taille n’est pas celle de Paul, il est bien trop petit.

Une femme en colère, c’est bruyant, et si elle s’imagine qu’elle est trompée, cela elle devient vite une femme hargneuse. Ce n’est donc pas un orage qui s’abat sur la tête de Paul, mais une tornade. Les voisins commencent à profiter, malgré eux, des cris de furie d’une femme s’imaginant trompée.

  • Tu joues au bébé et mets des couches avec qui ? Qui est cette pouffiasse que tu fait venir chez moi ? Hurle à présent Marie.

Le menteur n’a pas d’autres choix que de tout avouer à sa femme s’il ne veut pas que tout l’immeuble apprenne ses petits jeux qui sont, finalement simplement coquins.

  • Le body était trop petit, je me suis fait avoir avec ces putains de tailles chinoises. Oui chérie, je me suis amusé hier avec les couches, mais j’étais tout seul, je le jure sur la tête des mes parents. Arrête de crier s’il te plait, pense à notre réputation, les voisins entendent tout ce que tu dis.

  • Pour commencer, je m’arrêterai si je veux ! ensuite tu as intérêt à vraiment tout me dire, y compris la raison d’un body de femme dans ma poubelle. Tu te travestis maintenant ?

Aux pieds du mur, ou plutôt de la poubelle déversée par terre dans la cuisine, Paul avoue qu’il a effectivement repris ses petits jeux ABDL. Il lui explique que cela le détend car rester enfermé depuis plus d’un mois le rend dingue. Il lui explique ensuite qu’il avait commandé ce body pour maintenir sa couche car il n’y en avait pas à sa taille pour homme. Marie apaisée sur le fait qu’il ne la trompe pas, ne décolère pas pour autant. Une femme ne se calme pas aussi vite, il ne faut pas rêver ! (Humour de macho certes, mais ce n’est pas tout à fait faux)

De fils en aiguille, Paul s’enterre dans ses mensonges ayant pour but d’arranger la vérité, ou du moins de masquer quelques points dans sa présentation. Agacée, Marie lui demande de lui faire voir où il cache ses petites affaires de pervers détraqué. Cette fois, ce n’est pas au pied du mur que Paul se retrouve, mais c’est au pied de la vieille armoire se trouvant dans le garage. Marie y découvre deux paquets de couches, et, toujours aussi méfiante, ouvre d’autres cartons. Celui des malices tombe entre ses mains sous les yeux blêmes de Paul. Sa femme découvre des culottes en plastiques, des menottes, des chaînes et des cadenas, un biberon, une tétine de bébé, des bodys, des collants blancs, une cage de chasteté et des sextoys.

  • Bon, prends ton carton et emmène-le au salon, il va falloir que tu m’expliques l’utilité de tout ça parce que là, j’ai vraiment besoin de comprendre !

Lorsqu’ils arrivent au salon, elle prend le carton des mains de Paul et le vide sur la table avant de le jeter à travers la pièce. Cette fois, c’est au pied de la table dévoilant tous ses petits jouets que le coquin fautif se retrouve, avec sa femme debout face à lui en attente d’explications.

  • Tu sais depuis le début que j’ai quelques fétichismes et que des fois, il m’arrive de jouer tout seul. Je ne fais de mal à personne et ne te trompe pas.

  • Non, tu ne me trompes pas, enfin j’espère, mais tu me délaisses ça c’est sûr. Monsieur préfère jouer au bébé ou à la petite fille plutôt que de me faire des câlins et de m’aider à la maison alors qu’il ne travaille pas. Va me servir un verre de gnole, celle de mon père, j’ai besoin d’un remontant !

Deux verres de gnole plus tard, la tornade est passée, mais l’orage gronde encore. Paul n’a pas d’autres choix que de répondre à toutes les questions de sa femme. Lors de ses explications, il parvient à lui avouer qu’il rêve depuis toujours qu’elle le domine un peu, qu’elle lui impose quelques trucs érotiques, qu’il rêve d’elle en nounou dominatrice. Ces révélations sont accompagné d’une remarque qui va faire mouche dans les réflexions de Marie : « le soir, tu dors à 22 heures sur le canapé avant même que le film soit terminé. Je te respecte et ne te bouscule pas pour faire des câlins, alors je joue un peu tout seul ».

  • La meilleure défense c’est l’attaque comme chacun sait, là chéri, tu t’y aventures sur la pointe des pieds en me disant que tu rêves de moi, c’est ça ?

  • Il y a de ça chérie ! De ça oui, c’est vrai, je te jure que c’est la vérité, mais comme tu es fermée à mes petits jeux et plaisirs, je ne t’ennuies pas avec ça. Je les fais tout seul hélas sans toi ! Je reconnais que j’ai eu tord de ne pas t’en parler.

  • Ressers-moi une gnole et va faire le repas, j’ai besoin de réfléchir. Répond Marie très calmement avec une voie posée impressionnant Paul.

Peu rassuré, il s’exécute et se lance dans une cuisine sophistiquée en faisant des pâtes au beurre et deux steaks hachés. Pendant le repas, pas un mot n’est échangé. Le silence est très pesant pour Paul qui préfèrerait presque qu’elle continue de râler. Cela ne peut que cacher quelque chose, il le voit dans les yeux de sa femme quand il croise son regard.

  • Débarrasse la table et rejoins-moi au salon, tu feras la vaisselle demain ! Lui ordonne Marie en se levant brusquement avant d’aller au salon d’un pas décidé inquiétant.

Lorsque Paul arrive au salon, Marie est en train d’étudier avec un intérêt soudain, toutes ses petites affaires. Les yeux battus, la mine triste et les joues blêmes, (comme l’écrivait Nicola Salerno un parolier napolitain) le pauvre Paul ressemble pour le coup, à un gamin devant le bureau du directeur d’école.

  • Mon petit chéri d’amour, j’ai décidé d’un commun accord avec moi-même, d’être quelques jours la femme de tes rêves. Tu sais, celle que tu m’as décrite qui serait ta nounou dominatrice. Après tout, cela peut être amusant d’essayer pendant le confinement. Cela le rendrait plus attractif pour toi, qui, comme un malheureux, doit rester enfermé à la maison tout seul. Tu vois, j’ai pitié de toi, MOI ! Oui « moi », parce que tu aurais pu au moins préparer les repas et faire le ménage pendant que moi je travaille ! Cela n’a rien de déshonorant pour un homme (Et vlan, prends-toi ça dans les dents...) Puisque cela semble déshonorant pour un homme à tes yeux, et bien on va t’habiller en petite fille qui aide sa maman ! Déshabille-toi et commence par mettre ça ! Lui ordonne Marie en lui tendant sa cage de chasteté.

La marche est un peu haute pour Paul, rentrer comme ça de but en blanc dans ses fétichismes et délires après une dispute est rude. Il essaye bien de négocier mais en vain, et quand elle commence à crier « tu vas la mettre ta cage de chasteté de suite » il lui fait « chut chut » par peur que les voisins entendent et se moquent de lui. Soudainement réduit au rang de mari soumis et piégé, il s’exécute sous les yeux amusés de sa femme. Si parfois mettre une cage de chasteté génère de l’excitation et peut faire bander, présentement, le pauvre Paul n’éprouve aucun excitation. Ce serait même le contraire ! La cage posée et verrouillée sur son sexe, il tend les clés à sa femme dont le visage triomphant ne le rassure pas.

  • Maintenant, ta nounou dominatrice va s’occuper du vilain bébé, pardon, de la vilaine petite fille. Allez file à la chambre, j’arrive !

La queue encagé entre les jambes comme seul vêtement, Paul se rend à la chambre comme demandé. Il l’attend debout au pied du lit sans savoir quoi faire.

  • Allonge-toi mon bébé, maman va s’occuper de toi ! Ordonne Marie en arrivant avec les affaires qu’elle a choisies. Bien on va commencer par mettre une couche et comme tu vas la garder longtemps, on va rajouter ce truc, cela s’appelle comment ?

  • Des inserts chérie.

  • On va en mettre deux au gros pissou par précaution, pardon à la pisseuse.

Pour ne pas ajouter d’huile sur le feu, Paul est très coopératif. Il lève bien ses fesses quand sa nounou lui glisse les couches sous les reins. Il collabore également quand elle lui met une culotte en plastique à fleur. Marie lui enfile ensuite un body en manches courtes de Little Rawrs avec des nounours puis, pour compléter son piège, une paire de collant blancs.

Nous ne saurons pas si c’est par esprit de vengeance ou parce qu’elle est amusée par la mine déconfite de Paul, ou les effets de la gnole, mais Marie semble soudainement s’amuser dans son nouveau rôle.

  • J’ai des idées de dominatrice, chérie, ne bouge pas, je reviens !

Une minute plus tard, elle entre dans la chambre avec son pantalon, une chaîne et un cadenas.

  • Tu ne comptes pas me faire sortir comme ça ?

  • Non, pas encore, nous sommes en plein confinement ! C’est juste une petite ceinture spéciale que je vais te faire mon chéri. Comme ça, je suis sûre que tu seras une bonne fifille bien sage et que tu ne joueras pas avec les sextoys. Tu sais, les jouets que tu dois mettre dans ton petit « cul cul » de vilaine fille....

Atterré par l’enchaînement des évènements, (et de son pantalon) Paul est comme sans énergie n’y volonté. Il la regarde enfiler la chaîne dans les passants de son pantalon, puis, avec les yeux qui sortent presque de ses orbites, la serrer fortement avant de poser un cadenas.

  • Voilà, je me suis occupée de toi comme tu as envie. Et comme la vie est faite d’échange, nous allons dire que je suis devenue lesbienne.

  • Pardon ?

  • Oui, il te reste une langue de menteuse. Cette langue va devoir travailler ce soir pour faire plaisir à sa nounou Maîtresse....

Marie se met à retirer ses vêtements puis éteint la lumière avant de se coucher.

  • Aller, viens lécher ta Maîtresse, et tu as intérêt à t’appliquer, crois-moi sur parole !

La pauvre Paul très perturbé n’a pas vraiment la tête à ça. Contre mauvaise fortune bon coeur, il s’allonge donc entre les cuisses de sa femme pour lutiner son mont des plaisirs. Si l’appétit vient en mangeant, au bout d’un moment, c’est dans la cage de chasteté compressée par les couches que l’érection non désirée pointe son nez. Les précieuses compressées de Paul, entrant dans ses trips de soumission, commencent à crier à l’aide. Hélas, il sait par avance qu’il est absolument inutile de demander, au moins ce soir, un peu de clémence....

Ce fut long, très long et pour cause, la colère de Marie ne partit pas de suite. La langue de Paul frisant les crampes parvient au bout d’une grosse heure à donner du plaisir à sa femme. Elle n’était pas décidée de feindre, il y aurait passé la nuit si besoin ! La nuit de Paul fut agitée de cauchemars, de douloureuses crises d’érection contrariée. Si bien qu’au petit matin, ne parvenant pas à dormir, il se leva pour aller préparer le café de sa femme.

  • Tu vois que tu peux être un mari attentionné quand tu veux ? Pardon, une bonne fifille à sa maman ! Lui dit Marie amusée de la gêne éprouvée par son mari.

Une petite heure plus tard, lorsqu’il vit sa femme prendre ses affaires, puis sa grenouillère, pour quitter le domicile conjugal et aller travailler, Paul s’affola.

  • Tu ne vas pas me laisser comme ça ?

  • Si, pourquoi, ce n’est pas ce dont tu rêvais ? Lui répondit Marie en ouvrant la porte.

Pour ne pas être vu, Paul se cacha et tenta de l’appeler, hélas, cela n’eut pas l’effet escompté. La porte se referma. Partir en courant derrière elle n’étant pas possible dans cette tenue, il se lamenta en prenant conscience que la journée allait être longue. Il ne se trompait pas, surtout que le matin, nous sommes nombreux à vouloir aller déposer un petit cadeau ou un cake aux fruits confits dans les toilettes. L’idée de faire la totale dans sa couche l’horrifiait, et pire encore, de devoir la garder jusqu’à 18 heures le traumatisait. Il fit l’impossible pour résister à mère nature. Il se levait parfois de la chaise de son ordinateur pour se tenir droit comme un I majuscule en serrant ses fesses. Au bout d’un moment, il fit de même en ajoutant ses mains pour les compresser par dessus son pantalon et la couche. S’asseoir devenant trop dangereux, il se mit à surfer debout, évidemment sur Fessestivites et Abkingdom !

Sachant également que déchirer son pantalon et le reste l’exposerait à une colère sans pareille bien pire qu’un gorille, il tenta de résister encore et encore. C’est en voulant attraper une bouteille de bière dans le bas du frigo que l’accident arriva. Se baisser fut une erreur fatale, ses sphincters anneaux déposèrent le bilan au sens propre comme au sens figuré du terme. n’étant pas un adepte du popo couche, le pauvre Paul resta debout jusqu’au soir. Son nouveau parfum « brise d’anus de chez Jean Peste » lui donnait des envies de restituer la bière qu’il n’aurait jamais du prendre.

Malgré ses mésaventures « popotesques », ne désirant pas engendrer le courroux de sa femme, nouvellement nounou dominatrice, Paul fit un peu de ménage, prépara le dîner (grâces aux recettes trouvée sur internet) et mis même la table. Son but initial, vous l’avez compris, n’était pas de faire plaisir à sa femme, non, il ne voulait pas revivre la même chose deux fois ! Les femmes étant d’un naturel rancunier, l’affaire n’était pas gagnée....

A 18 heures, Paul était quasiment devant la porte d’entrée tel un toutou attendant sa Maîtresse. Par manque de chance, il y resta plus longtemps que prévu, Marie s’étant arrêtée en route faire des courses au supermarché. Les règles du confinement imposant des distances de sécurité, le vigile comptait les entrées et faisait patienter les clients devant la porte. Ces distances de sécurité d’un mètre, ressemblèrent à celles que Marie continua de respecter quand elle arriva chez elles les bras chargés. Ce n’est pas le Covid-19 qui lui posait problème, mais le nouveau parfum de son mari !

  • Tu pues, recule-toi et ouvre les fenêtres pour aérer !

  • Je te rappelle que c’est ta faute !

  • Pardon ? Qui c’est qui voulait avoir une nounou Maîtresse ?

  • Oui c’est moi, mais pas comme ça !

  • En clair, il faudrait que je fonctionne sur commande comme à La Redoute ? Que tu me dises ce que je dois faire avec les détails ? Une couche mais pas plus d’une heure, vous me mettrez 300 grammes de cage de chasteté, une petite heure de régression en fille ? C’est ça ? Et bien tu rêves ! Attrape les clés vilaine ! Cria Marie en les lançant dans l’appartement.

Le pauvre Paul n’eut pas le réflexe assez rapide pour les saisir au vol. Il dut se mettre à quatre pattes pour aller les récupérer sous la table du salon.

  • Cette position te va très bien bébé, reste à quatre pattes pour aller jusqu’à la salle de bain ! Après tu iras ranger les courses et viendras me voir. J’ai bien dit après la douche....

Fou de rage et humilié, il hésita un instant à se relever mais, par prudence, se rendit comme demandé à la salle de bain pendant que sa femme pouffait de rire. Ravie de voir qu’il avait fait un peu de ménage et préparé le dîner, elle prit conscience que dominer son mari peut avoir des avantages ! Au lieu de se mettre aux travaux ménagers, elle se servit un coca puis alluma la télévision pour se remettre de sa journée.

  • Finalement c’est bien de changer les rôles et de porter le pantalon de temps en temps. Quand tu es en fille, je n’ai rien à faire quand je rentre de travailler. On devrait le faire plus souvent !

  • Là tu rêves !

  • Comment ? Je jette les clés de ta cage de chasteté par la fenêtre ou je les confie à la voisine en lui disant à quoi elles servent ? C’est sûr que cela l’amuserait ! ! ! Lui répondit Marie en éclatant de rire. Regarde ce que je t’ai rapporté. C’est ta grenouillère, j’ai profité des machine du travail pour coudre des anneaux, comme ça, on pourra y poser un cadenas. C’est chouette non ? Rassure-toi, je l’ai fait pendant la pause sur une des machines servant pour les masques que la mairie à commandés. Personne ne m’a vue.

  • Merci chérie de préserver ma dignité !

  • Alors tu as été sage aujourd’hui ? Tu n’as pas joué avec ton petit robinet ? Viens voir maman. Oh, zézette est toute écrasée là dedans. Il faudra mieux la laver la prochaine fois, car là, elle sent un peu. Tu veux que je te dise chéri ?

  • Quoi ?

  • J’ai pensé à toi toute la journée. Et toi ?

  • Moi aussi, je t’ai même un peu détestée quand.... !

  • L’amour et la haine sont très proches comme sentiments. Je vais prendre un bain, mais j’espère que tu as aéré la salle de bain, sinon, gare à tes fesses ! A propos de fesses, tu peux attendre pour que je te remette en couche ou tu risques de te faire pipi dessus ?

  • C’est malin !

........

Le repas fut bien moins tendu que celui de la veille. Marie raconta sa journée, tenta de tout savoir de celle de Paul qui, tout honteux, ne lui donna pas trop de détails. Il lui demanda si elle comptait récidiver et les laisser enfermé comme ça jusqu’au popo souvent ?

  • Cela dépendra de toi mon amour ! Si tu es sage et écoute bien, si tu fais bien tes devoirs de mari qui aide sa femme, cela ne devrait pas t’arriver trop souvent.

  • Quoi, trop souvent ? Non mais tu rêves là !

  • Allez, viens, je vais m’occuper de toi et après on fera un gros câlin.

« M’occuper de toi et faire un câlin » n’eut pas du tout le même sens pour Paul et Marie. Il le compris très vite quand, comme la veille, elle le langea de la même façon hormis qu’elle lui passa la grenouillère à la place du body. Ne voulant pas revivre un popo couche qui dure la journée, il refusa qu’elle la cadenasse. « On verra » lui répondit sa femme amusée. Elle le pris par la main et l’emmena au salon où elle s’installa sur le canapé pour regarder une émission de variété.

  • Il y a un bon film sur la 6 ce soir ! Lui indiqua Paul.

  • Il y a une bonne émission de variété sur celle là ! ne râle pas où tu vas te coucher de suite. Tu dois avoir envie de téter pour être grognon ou tu es fatigué ?

  • Grrrr !

  • Aller, viens téter maman ! Lui indiqua Marie en ouvrant son peignoir.

Attiré contre la poitrine de sa femme, Paul prit place contre elle comme un bébé qui tète et téta sans se prendre la tête. Oui mais pour se mettre dans une bulle dans sa tête, il ferma les yeux en tétant. Sous les caresses de sa femme devenue nounou, la succion du tété devenant entêtante de plaisir, il ne prit pas garde et, s’arrêta de téter quand il entendit un « clic ». Il ouvrir les yeux pour voir Marie se payer sa tête et lui faisant voir les clés du cadenas qu’elle venait de poser sur sa grenouillère. Ils commencèrent à se prendre la tête mais Marie lui expliqua les choses simplement. « Ta femme a trois tétines qui devraient te plaire. On va pas se prendre la tête pour une simple clé. Tète mes trois tétines, fais-moi jouir et peut-être que demain, je te donnerai les clés de ta grenouillère avant de partir ». Paul ne s’entêta pas et téta même en bas. (En bas, c’est entre les cuisses de sa femme et lui à quatre pattes devant).

Madame ayant pris son plaisir, elle envoya la petite se coucher. La petite se révolta, il était à peine 21h30. Lorsqu’elle lui fit voir les clés du cadenas de sa grenouillère, la petite fille devint sage et obéissante, allez donc savoir pourquoi ?

LE LENDEMAIN

Comme le jour d’avant, Paul se leva de bonne heure. Non pas qu’il n’aurait pas fait la grâce mâtinée suite à une deuxième nuit difficile, non, tout simplement parce que l’érection du matin, n’arrivait pas à passer coucher. Et encore une fois, Marie apprécia grandement de voir que son mari devenait une perle d’amour très attentive à son bien être.

Paul se fit encore avoir comme un bleu par sa femme ! Elle lui parla de la clé qu’elle allait lui donner, puis, lui demanda d’aller chercher les clés de son bureau qu’elle avait oubliée dans la cuisine près du réfrigérateur. Lorsqu’il entendit la porte de la maison se refermer, Paul comprit le subterfuge ! Il l’insulta à travers la porte, par chance pour lui, elle n’entendit pas ses propos commençants par un S et finissant par un E. (Aller, je vous aide : « salope »)

Fou de rage, le chti bébé tourna un peu en rond mais s’arrêta avant d’avoir le tournis. Lorsqu’il reçut un texto, il ne se pressa pas pour aller le lire. Ce fut une grossière erreur ! ! ! !

Il en prit connaissance après avoir lu deux histoires érotiques. « Chéri fait-moi une déclaration d’amour par texto et je te dirai où est la clé de ta grenouillère ». Ni une ni deux, il se mis à l’ordinateur pour en copier une. La réponse se fit en deux textos !

Premier texto : m’avoir fait attendre deux heures mérite une punition.

Deuxième texto : Tu refais une déclaration d’amour à ta nounou avec de jolie mots et tu parles de ta cage de chasteté dans le texte. Ensuite tu fais 100 lignes de « je ne dois pas faire attendre ma nounou » et tu m’en adresseras une photo !

« Le chocolat au bord des lèvres » (expression plus jolie que pris d’une forte envie de chier), Paul dût se mettre debout pour finir ses lignes, la position assise étant devenu très dangereuse. La réponse de sa nounou Maîtresse le glaça : les clés sont cachées au fond du placard en bas derrière mes chaussures. Le pauvre bébé, se mit à prier les dieux, (plusieurs au cas où) en espérant que ses fesses tiennent le coup et la pression montante quand il allait devoir se baisser. Un saint solidaire lui souffla une astuce dans l’oreille. Il se laissa tomber en avant sans plier les jambes, de façon à se réceptionner sur les mains. Ainsi il n’aurait pas à se plier pour attraper les clés. L’astuce fonctionna ! Après deux reptations comme un commando marine (marine pour cause de couche détrempées) il put atteindre les dites clés.

Malheureusement pour lui, le saint solidaire était reparti. Se relever sans se plier ou fléchir les jambes était devenu un impératif pour éviter le tsunami dans la couche. Il commença par essayer comme pour faire des pompes sans parvenir à se redresser. L’idée de s’accrocher aux étagères lui vint. Une main par terre, une main sur l’étagère du bas, il parvint à commencer à se redresser. Lorsqu’il s’appuya de tout son poids sur la deuxième étagère la descente fut plus rapide que la montée. Par chance, la peur contracte ! Il parvint à blouser son petit anus encore contracté et à se redresser. OUF, Marcher droit comme un I à petits pas jusqu’aux toilettes pris du temps. Arrivé au lieux dit « d’aisance », Il hésita fortement à ouvrir sa couche pour prendre place. Non pas que la place était prise, mais parce que pour s’asseoir sans desserrer les fesses, lui paraissait très hasardeux. Il le fit à la façon Kamikaze qui se jette d’un pont. Par chance cela fonctionna. Paul pourrait vous dire que les toilettes sont solides et qu’elles peuvent résister à un missile. Peut-être pas un scud mais presque.

Soulagé, dans tous les sens du terme, il put prendre une douche et enfin se mettre à table. Entre la poire et le fromage, il adressa un texto d’amour à sa chère femme en espérant qu’elle serait attendrie et ne lui ferait plus ce coup là. (Hé hé hé, il y croyait....)

EPILOGUE (parce qu’il faut que j’aille travailler)

Sa chère et tendre femme devint plus Maîtresse que nounou. Non pas qu’elle ait de grandes passions BDSM, mais parce que garder son mari sous cage de chasteté en faisait un homme attentif.

La vie étant faite d’échange, elle instaura la dégustation de minette en échange d’une soirée ABDL. (En clair il doit lui bouffer le minou s’il veut qu’elle lui mette une couche et une tenue particulière)

FIN

TSM

Note de l’auteur : J’avais envie de délirer et de jouer avec les mots dans cette petite histoire. Je caresse l’espoir (et c’est tout) qu’elle vous a amusé(e).

Cette histoire est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

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